
Pendant la séance, en nous faisant voyager entre le passé et le présent, Ana Pi nous montre et nous parle de Èscultura, un projet qui est né au MAC VAL pendant la pandémie. Un groupe de participant.es a pu venir au mois d’octobre rencontrer la pratique d’Ana dans l’espace du musée, et toucher l’argile pour façonner entre leurs mains une danse, une pose, une figure, d’après ce qu’ils et elles voyaient ou imaginaient dans le corps d’Ana.
“Une œuvre digitale” dit Ana, qui porte les empreintes des mains qui l’ont manipulée.
“Des kilos et des kilos de gestes” ajoute t-elle, exposés là derrière les parois en verre du musée.


Images : Iris Medeiros.